Chez émoi émoi, on célèbre les liens du cœur. Et toutes les fêtes, y compris celle des grands-pères.
Alors pour l’occasion, on a demandé aux principaux intéressés ce que ce nouveau rôle avait changé …
« J’étais sans cesse en déplacements quand mes filles étaient petites. J’ai l’impression de n’avoir été présent qu’à leur adolescence. Quand mon petit fils est arrivé, j’ai ressenti le besoin de m’impliquer dans les soins et les tâches quotidiennes liées à la petite enfance. Ce n’est pas mon enfant mais cela me reconnecte au père que j’aurais voulu être. » Patrick, papi de Joseph.
« J’ai arrêté de voir mes potes pour ne voir que ma petite-fille. Jusqu’au jour où ma fille m’a demandé de reprendre une vie sociale, haha. » Pierre, papi de Luna.
« J’ai changé mes premières couches avec mes petites-filles. Avoir des jumelles m’a formé deux fois plus vite que tous mes copains papis. « Paul, papi de Pia et Thelma.
« Je me suis lancée dans de nouveaux défis de vie. Accueillir ma petite fille Lou a déclenché chez moi cette nouvelle jeunesse dont tout le monde me parlait. » Carlos, papi de Lou.
« J’ai arrêté de fumer le lendemain de sa naissance. J’ai fait tous les bilans de santé du monde, je me suis inscrit à une salle de sport, et j’ai même vu une sophrologue pour gérer mon stress. Devenir grand-père m’a fait prendre conscience de l’urgence d’être en bonne santé le plus longtemps possible. » Pascal, papi de Matéo.
« J’ai découvert ce qu’était un père génial en regardant mon fils faire. Je me suis pris une claque monumentale. Je savais qu’il allait m’apprendre des choses en grandissant. J’ai eu la plus belle des leçons. » Giovanni, papi de Cléa.
Pour dire merci, je t’aime, t’es super aux papas et beaux-papas qui sont devenus les plus cools des papis, on a vous a fait une petite sélection …
